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Quatre types de chemins,MAIS un seul est bon

Le 12 janvier 2025 par dans Non classé

Prédication du 29 décembre 2024

Parabole du semeur
(Marc 4 : 1-20)

Introduction
Frères et sœurs, il m’arrive de me faire des scénarios et des films. Par
exemple, je serai curieux de savoir ce que dirait l’apôtre Paul ou l’apôtre Pierre
si, en ce moment même, il venait parmi nous et jetait un regard sur nos
assemblées, sur la vie des chrétiens qui forment ces assemblées. Qu’arriverait-
il s’il parcourait les allées de nos églises et qu’ensuite, il se rendait jeter un
coup d’œil dans un bar, dans un théâtre, dans un concert, dans un cinéma,
dans un bal, dans une université… puis à un match de football et, pour finir,
dans un centre commercial et dans des rues bondées de monde ? En revenant
ensuite vers nous et en portant de nouveau ses regards sur nous, je me
demande s’il verrait beaucoup de différence ?
Il y a deux sortes d’églises dans le monde aujourd’hui. D’abord, il y a l’église
formelle reconnue par les institutions, reconnue dans son environnement.
Respectée et même attirante. Une église qui se conforme à son environnement
et qui cherche à plaire au monde en général et à ses membres en particulier.
Une église qui a une forme de piété traditionnelle apparente. Une église qui vit
avec son temps avec une certaine légèreté et modernité. Une église où on peut
blaguer et rire de tout, y compris sur Dieu, sur Son Fils, sur l’église… une
église ouverte et non traditionnaliste. Une église libérale et ouverte. Une église
avec des œuvres sociales et caritatives. Une église modèle et exemplaire selon
le monde. Une église libre où chacun peut s’épanouir. MAIS, malgré tous ces
attributs, cette église demeure une église sans puissance car elle est incapable
de dénoncer le péché. Elle ne dénonce que ce que le monde lui suggère de
dénoncer. Une église qui ne trouve par exemple rien à dire aux relations
sexuelles entres ses jeunes chrétiens hors mariages. Une église qui peut
approuver, sans le moindre remort, des relations malsaines entre hommes et
entre femmes… Dans ces églises, les ministres du culte qui agissent en
connaissance de cause sont des mercenaires dont la plupart ne sont peut-être
pas convertis. Dieu qualifie de tels bergers de « […] deux fois morts »
(Jude 1:12-13).
Mais il y a une autre sorte d’église dans le monde aujourd’hui selon le cœur de
Dieu. C’est une église certainement invisible mais qui accepte de payer le prix.
C’est une église formée d’un reste saint qui a horreur du péché ; un corps de
croyants pieux, priants, intransigeants, justes et sérieux dans leur vie
chrétienne. Elle est constituée de personnes complètement consacrées à Christ,
des personnes qui prient, jeûnent et cherchent la face de Dieu régulièrement.
Une église qui a compris que le chemin chrétien est un chemin étroit, un
chemin de sacrifice, de dépouillement et de dépendance au Seigneur Jésus-
Christ. Une église qui a compris que le plus important n’est pas de bien
commencer (appelés), mais surtout de bien finir (élus) en faisant partie des
vainqueurs qui régneront avec Le Seigneur pour l’éternité.
Revenons maintenant à notre Parabole qui va nous éclairer sur cette
église tant désirée par le Seigneur et pour laquelle Il a donne sa propre
vie.

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1) Une parabole clé
Cette parabole est la clé pour comprendre tous les messages que Le Seigneur veut
nous transmettre par Son Esprit-Saint. Il est question de compréhension spirituelle
et non pas exclusivement intellectuelle. C’est une connaissance (Co-naître = naitre
avec) qui n’a rien à voir avec le savoir. Paradoxalement, cette connaissance est le
fruit d’une naissance et d’une croissance qui se fait en nous.
Cette parabole apporte une certaine lumière sur toutes les autres, et elle se
trouve en tête d’une série de paraboles que nous trouvons tout au long des
évangiles synoptiques.
(Marc 4:13) « Il leur dit encore: Vous ne comprenez pas cette
parabole? Comment donc comprendrez-vous toutes les paraboles? »
Jésus dit que le contenu de la parabole avait un rapport avec ce qu’il a décrit
comme « le mystère du royaume de Dieu » (Marc 4:11). Qu’est-ce que
cela voulait
En quoi consiste ce mystère qui nous est aujourd’hui révélé?
Le mystère consiste à ce que le royaume ne devait pas être manifesté de
manière visible au monde durant le ministère terrestre de Jésus. Selon les juifs,
le Messie devait apparaître avec une grande majesté extérieure et avec un
pouvoir pour établir le royaume d’Israël (C’est toujours le cas aujourd’hui !).
Mais on trouve bien là la même idée que Satan avait du royaume lorsqu’il tenta
le Seigneur au début de son ministère (Matthieu 4:8-11).
Le mystère du royaume de Dieu devait plutôt s’établir dans les cœurs
des hommes.
2) La semence et Le Semeur
La semence fait allusion à la Parole Vivante de Dieu : « Le semeur sème la
parole » (Marc 4:14).
(Romains 10:17) « Ainsi, la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend,
vient de la Parole de Dieu. »
(1Pierre 1:23) « Puisque vous avez été régénérés, non par une semence
corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et
permanente de Dieu. »
Dans notre parabole, le semeur est le Seigneur lui-même.
(Matthieu 13:37) « Celui qui sème la bonne semence, c’est le Fils de
l’homme »
Même si on parle de semeurs quand on évoque les ministères des pasteurs,
missionnaires, évangélistes ou tout croyant qui prêche la Parole de Dieu
fidèlement, il faut savoir qu’ils ne sont que des véhiculeurs de la Bonne
Nouvelle dont le Semeur est Le Seigneur.
3) Quatre types de terrains et un seul qui est bon

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Le sol ou le terrain c’est le cœur humain. On y trouve quatre genres de terrains
en fonction des différentes manières dont la Parole est traitée par ceux qui
l’entendent. Rappelons que La semence est la même dans tous les cas et la
différence dans le rendement dépend entièrement du genre de terrain où elle
est semée et surtout reçue.
Mais, commençons tout de suite par dissiper un mensonge subtile qui peut
nous induire en erreur. Ce mensonge est celui qui nous fait croire que seul le
bon terrain ou la bonne terre concerne l’église. Comme si l’église était exempte
de toute dérive et de toute légèreté. Si vous le croyez, je vous invite à lire les
deux lettres aux corinthiens ou encore les lettres au sept églises dans le livre
de l’apocalypse. Donc, la plupart des terrains (si ce n’est les quatre) que nous
allons traiter, nous pouvons les trouver dans l’église. A chacun de nous de se
placer par rapport à ces terrains en toute conscience et en toute transparence
devant le Trône de la Grace et devant le Trône de la Justice divine. Cette
parabole rappelle aussi et encore une fois l’indispensable don de du
discernement dont a besoin chaque église de Dieu.
Volontairement, je vais commencer par le quatrième et dernier terrain, c’est-à-
dire celui qui correspond au Cœur du Seigneur. C’est-à-dire Le seul qui est en
harmonie avec la volonté du Père. Le seul dans le quel Dieu trouve tout son
plaisir. J’irai même plus loin pour dire, qu’il s’agit du terrain qui est le Seul apte
à rejoindre le Seigneur dans l’éternité… Il n’y en a pas d’autres. Ce terrain
correspond au cœur du vainqueur du livre de l’apocalypse. Ce cœur est celui
des vierges sages ; ce cœur est celui des appelés-élus.
3.1. La semence tomba sur « la bonne terre »
Qu’est-ce que la bonne terre ? Notre passage nous donne la réponse d’une
manière claire que les enfants comprennent très facilement : La bonne terre
permet à la semence de germer, de croitre et surtout de donner beaucoup de
fruits. Donc, il est question de fruits avec différents rendements : « et elle
rapporta trente, soixante, et cent pour un » (Marc 4:8). Mais de quels fruits
s’agit-il ? Là encore, La Parole de Dieu est très claire et très simple à saisir.
Ceux qui affirment avoir reçu la parole de Dieu sincèrement et sérieusement
dans leur cœur, doivent commencer immédiatement par produire le fruit du
Saint-Esprit, c’est-à-dire, d’après Galates 5:22-23 : « l’amour, la joie, la paix,
la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ».
Jésus dit dans Matthieu 7:15-20 que « […] c’est donc à leurs fruits que vous
les reconnaîtrez ».
S’il n’y a pas de fruits visibles et discernables par autrui, nous ne
pouvons pas dire qu’il y a en nous une nouvelle vie. C’est-là la clé pour
comprendre notre parabole. La finalité est la productions de fruits digne
de notre repentance.
Le plus dur et le plus compliqué et le plus insurmontable, humainement
parlant, dans la vie du croyant (je ne dis même pas chez les gens du monde ,
c’est-à-dire les incroyants) est bien cette capacité de mettre de côté ses
certitudes illusoires et son désir viscéral de ne vouloir rien lâcher pour une
cause ou pour une autre… au point de rendre son avancement spirituel très
long voire stagnant. Comment voulez-vous répondre à une nature qui

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revendique ses droits à se justifier. Une nature toujours prête à défendre et
préserver ses droits…
Tant que nous revendiquons une certaine reconnaissance du monde, de son
entourage lointain ou proche, des droits humains, légitimes soient-ils, qui dont
le meilleur des cas nous feront bénéficier d’une certaine valorisation et d’une
reconnaissance humaine et mondaine limitée à notre existence physique, eh
bien, nous passerons à côté de la Véritable Vie à Laquelle Le Seigneur nous
appelle.
Je connais dans mon entourage, familial, amical et professionnel, des gens qui
ont continuellement besoin d’être reconnus et, directement ou indirectement,
ils le revendiquent. Ils ont besoin d’une reconnaissance permanente du monde
pour leur dévouement religieux, pour leurs diplômes universitaires, pour leur
statut social, pour leur implication sociale, pour leur gentillesse et leur bonté…
et même pour leurs dons réels ou supposés au sein de leur église. Si nous
sommes dans cette situation, nous n’avons pas en nous Cette véritable
nouvelle Vie. Paradoxalement, Le Seigneur nous demande tout le contraire en
s’appuyant sur sa propre expérience :
Marc 10:45 : « Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais
pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. »
Philippiens 2:5-8 : « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ,
lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à
arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une
forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et ayant paru comme
un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la
mort, même jusqu’à la mort de la croix. »
1Corinthiens 10:24 « Que personne ne cherche son propre intérêt, mais que
chacun cherche celui d’autrui. »
La Nouvelle Vie est le fruit d’une semence semée dans une bonne terre par Un
Semeur, le Seigneur Jésus-Christ, en conformité avec sa Parole Divine. Cette
semence ne va pas croitre tout de suite. Le grain va tomber dans la terre
(notre cœur), je dirai même dans l’obscurité de notre cœur. Pendant un certain
temps, ce grain va se décomposer (c’est l’œuvre de la Croix), non pas pour
mourir et disparaitre, mais pour se réassembler et sortir de terre (c’est l’œuvre
de la résurrection), croitre et porter des fruits qui deviennent une bonne
nourriture pour autrui (C’est la sanctification).
(Marc 4:20) : « D’autres reçoivent la semence dans la bonne terre; ce
sont ceux qui entendent la parole, la reçoivent, et portent du fruit,
trente, soixante, et cent pour un. »
Mes frères et sœurs, la vie chrétienne n’est pas un jeux. C’est très dangereux
de prendre à la légère la marche avec le Seigneur. Ça doit nous coûter le fait
de nous déclarer chrétiens. Il y a des frères et sœurs sur cette terre qui
acceptent de souffrir voire de mourir pour ne pas blasphémer le Nom du
Seigneur Jésus-Christ. Cessons de revendiquer nos droits à la reconnaissance
sociale comme droit et objectif ultime. A la place, abandonnons-nous à la
simplicité de Notre Seigneur Jésus-Christ dans une obéissance pieuse et
sincère.

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Il est question de vie ou de mort. Il faut être sérieux dans sa marche avec Le
Seigneur. Si nous n’avons pas la crainte divine et si nous nous ne sommes pas
interpelés par notre conscience à cause de du péché, alors nous somme encore
loin de cette Vie Spirituelle à laquelle Le Seigneur nous appelle.
Maintenant, en dehors de cet unique chemin de La Vérité et de la Vie, il y en a
trois autres :
3.2. « Une partie de la semence est « tombée le long du chemin »
Sur un terrain tellement dur qu’il ne pouvait s’enraciner dans le sol; de telle
manière que les oiseaux la mangèrent sans qu’elle donna de vie. Cela fait
allusion à des personnes insensibles qui, comme le chemin que plusieurs
personnes ont déjà emprunté plusieurs fois, ces personnes ont aussi rejeté la
parole plusieurs fois jusqu’au point où leurs cœurs se sont endurcis. Cette
illustration peut se référer aussi à des personnes qui ont la conscience bloquée
à cause du péché. Ou des gens qui pensent qu’ils n’ont besoin de rien; des
gens qui se croient autosuffisants et se montrent indifférents à la prédication
de la Parole de Dieu parce qu’elle leur semble une chose ridicule ou inutile.
Malheureusement ce type de terrain est très présent dans notre monde
occidental qui se satisfait de lui-même au point de lutter contre toute évocation
de Dieu. Le maître mort est la liberté au détriment de toute morale. Une liberté
de façade qui exprime cette rébellion contre Dieu Créateur. Une fausse liberté
immorale qui intègre de plus en plus l’église dans ce monde. Malheureusement,
nos jeunes sont bien confrontés à ce terrain dans ce monde !
3.3. « Une autre partie tomba dans un endroit pierreux »
J’ai connu personnellement ce terrain. Il m’a fallu du temps (des années) pour
le réaliser et en sortir par la Grâce de Dieu. Ce terrain est peu profond ; la
semence est donc tombée sur des pierres où il n’y avait pas d’humidité, pas de
nutriments. Elle commença à germer, mais elle n’a pas pu s’enraciner, et le
soleil ne tarda pas à brûler la petite plante. Ce sont des illustrations des gens
qui reçoivent la parole superficiellement. Ce sont des personnes qui dépendent
de leurs émotions et de leurs sentiments, mais elles n’ont pas de profondes ni
sincères convictions. C’est pour cela que lorsque ces gens sont confrontés à
l’épreuve de la vie, ils retournent au monde. C’était bien mon cas durant
plusieurs années.
3.4. « une autre partie de la semence est « tombée parmi les épines »
Bien que la germination fut parfaite et la croissance bonne, les épines l’ont
étouffée de telle manière qu’elle n’a donné aucun fruit. Quand la semence fut
semée, le terrain semblait être propre, mais il y avait aussi des semences des
épines qui « crûrent avec elle » (Luc 8:7). C’est une illustration de toutes les
choses qui essaient de déplacer le Seigneur de la place suprême qui lui
correspond et qui étouffent sa Parole. Les intérêts et les préoccupations: les
personnes anxieuses, nerveuses, toujours en tension, constamment inquiètes
pour les choses de la vie, que mangerons-nous? Que boirons-nous? De quoi
allons-nous vêtir ? Pourquoi on ne me respecte pas ? Pourquoi on ne m’aime
pas ? Pourquoi on me néglige ? Suis-je inutile à ce point ? Les richesses : les
personnes intéressées pour s’enrichir, cherchant des distractions et des plaisirs.
Remarquons que Jésus parle de tout cela comme « la séduction des
richesses ». Cela met en évidence la nature trompeuse des richesses, qui
offrent toujours satisfaction mais n’accomplissent jamais cette promesse. Le

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désir d’autres choses: les gens inquiets, allant ici et là, incapables de demeurer
longtemps dans un endroit pour s’enraciner, des gens sans destination fixe, qui
vont d’une expérience à une autre. Tandis que le soleil brûle rapidement les
pousses qui ont surgies des pierres, les épines étouffent lentement l’épi.
Tous les chrétiens n’ont pas la même expérience quant au degré de
fructification, parce que tous ne sont pas fidèles, loyales, vaillants, humbles,
consacrés ,… au Seigneur de la même manière. Et c’est, en quelques sorte,
assez normal. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être un Étienne ou un
Pierre ou un Paul… Néanmoins, nous sommes tous appelés à la persévérance
dans notre marche avec le Seigneur.
4) L’importance de notre persévérance et de notre responsabilité
La persévérance est la marque d’identité du véritable chrétien. Ceux qui
s’éloignent lorsque survient l’épreuve qui peut aller jusqu’à la persécution ou la
tribulation, ne parviennent jamais à produire du fruit qui, comme nous venons
de le voir, est l’évidence d’avoir reçu la parole divine correctement. Dans
l’évangile de Luc, on lit à propos de cette même parabole :
(Luc 8:15) « Ce qui est tombée dans la bonne terre, ce sont ceux qui, ayant
entendu la parole avec un cœur honnête et bon, la retiennent, et portent du
fruit avec persévérance. »
La parabole traite de notre responsabilité face au monde et nous enseigne que
nous avons l’obligation et le devoir d’être sérieux dans notre marche avec le
Seigneur. Elle nous rappelle de veiller avec discernement de ne pas tomber
dans les convoitises de la chair en cherchant à défendre ou à revendiquer son
droit aux yeux du monde. Nous sommes appelés au dépouillement. Nous
sommes appelés à abandonner nos droits s’il le faut. Nous sommes appelés à
porter notre Croix… nous sommes appelés à porter des fruits dignes de notre
repentances. Et surtout nous sommes appelés à faire une seule chose
indispensable : chercher Notre Seigneur dans la prière, l’adoration et la
méditation de sa Parole.
Conclusion
Nous devons nous demander maintenant: qui sommes-nous ? À quel terrain
appartenons-nous ? N’oublions pas qu’il y a trois manières d’entendre la
prédication sans porter de fruits et une seule manière de l’entendre pour porter
des fruits dignes de notre repentance.
Il n’y a pas de fatalité. Une personne peut changer. Elle peut avoir été « un
endroit pierreux » pendant longtemps; mais cette situation n’est pas définitive,
elle est réversible si elle le veut et si elle le désire sincèrement.
N’oublions jamais que seul le fruit qui se produit avec persévérance est le signe
infaillible d’avoir été des auditeurs sincères du Seigneur.
Que Dieu nous aide.
Amen.La parabole du semeur – Marc 4: 1 à 20